Je partage une part du point de vue de revuedepresse (a écrit le 10 septembre 2013 à 21 h 14 min ) mais si Poutine permet d’accorder un sursit à la situation US il a avant-tout montré toute son habileté politique et la faiblesse des US.
Hollandouille c’est fait piégé par Obama qui c’est fait à mon avis piégé par Poutine.
L’habit de patron change de continent.
Obama a tenté de de sauver les meubles de ce qu’il reste de la suprématie US dans ses interviews d’hier mais celui qui pour l’instant avance ses pions c’est Poutine.
Obama n’a d’ailleurs, tout au long de son show télévisé justifiant une intervention en Syrie, à aucun moment, cité la France comme partenaire ou allié de sa déclaration de guerre. Ce qui en dit long sur la considération du petit toutou Hollande attaché à la niche de la White House.
Comme NOP (a écrit le 11 septembre 2013 à 4 h 20 min (il se lève tôt)) le souligne, Hollande, le politicien de Canton, le Young Leader de la French Américan Foundation s’est mis tout seul dans la merde en bon titoutou qu’il est.
Il tente maintenant d’exister par un projet de résolution et s’enfonce encore un peu plus dans le ridicule, car la France à la remorque des US, ne peut jouer aucun rôle politique mondial.
C’est maintenant une certitude.
Il s’est grillé auprès des Européens en voulant jouer les gros bras, alors qu’il aurait été sage de tempérer et préférable de réunir l’avis des membres de l’UERSS – hors Anglais qui ont joué à la perfection leur rôle d’enfumeur.
Bref, je le dis depuis des années, la France s’est tourner vers le crépuscule de l’Ouest alors que l’aube était à l’Est.
« Prévoir c’est déjà agir » – Henri Fayol
